Le soleil commençait à se décliner dans le bleu de l’océan qui baigner la plage de la ville balnéaire : Costa del sol. Le parfum de l’iode se baladait dans les airs, pénétrant les sinus de tout le monde, on entendait les vagues qui s’écraser doucement sur le sable fin. J’étais assis sur ce dernier, ma tête entre mes genoux, replier sur moi-même, comme si je pleurais, mais ce n’était pas le cas. J’essayais de faire le point sur moi, de me mémoriser ma prochaine destination, de savoir où créchais, où mangeais, certes je suis un mercenaire, donc, ça ne doit pas être difficile, mais à cause d’une simple couleur de yeux, tout le monde se méfie. Je relevais ma tête, quand j’entendis des enfants rirent avec leurs parents, je souriais à la vue de cette famille uni, j’aurais voulut que la mienne soit ainsi. Si seulement mon père na pas voulut jouer les scientifiques fou, on serait toujours ensemble. Mais ce qui est fait est fait, on ne peut pas revenir en arrière et le fait d’avoir tué mon père n’a malheureusement pas fait revenir ma mère, je savais déjà cela, mais il fallait bien en vouloir à quelqu’un. Je sortais de mes pensées lorsque quelque chose percuta ma tête et tomba sur le sable, laissant un faible impact sur ce dernier. Je regardais l’objet rond, certainement un ballon de volley-ball ou un ballon pour un autre sport, je me massais l’arrière de mon crâne pour atténuer la faible douleur qui apparaît.

_ Hé ! Toi !
Je me retournais vers l’endroit où provenait la voix, il y avait un groupe de jeune gens torse nus et short entrain de me regardaient. Un homme de ce groupe s’avança vers moi.
_ Oui, toi ! Rend-nous le ballon.
Je prenais le ballon dans mes mains et je continuais à regarder l’homme qui visiblement ne connaît pas la politesse. Je commençais à m’amuser avec le ballon en le lançant en l’air ou à le faire tourner sur un doigt. L’homme s’avança vers moi, l’air menaçant, prêt à me frapper.
_ Tu vas donner ce p***** de ballon, oui ou non ?
Non mais celui là, il ne connaît pas la politesse et en plus il est vulgaire, quoi que, moi aussi je peux devenir vulgaire quand je le veux. Je continuais à regarder l’homme qui s’était planté devant moi.
_ Hum…Je ne sais pas !
_ C***** de Soldat !
Je fronçais mes sourcils, j’étais en colère contre cet homme, je serrais le ballon entre mes mains, puis je me relevais pour faire face à aux joueur torse nus.
_ Tu sais ce qu’il te dit le c***** ! C’est qu’il n’est pas un Soldat !
Sur cette dernière phrase, je lui lançai de toutes mes forces son ballon dans sa figure, le ballon retomba par terre laissant une grosse marque rouge sur la figure de l’homme. Ce dernier s’apprêtait à me donner un coup de poing, mais il s’arrêta net, lorsque ma main se posa sur mon arme. Et dans un geste de dégout, il se retourna vers ses partenaires et s’en alla.

Je me laissais tomber sur le sable avec un soupire, regardant les premières étoiles faire leurs apparitions dans le ciel du soir. Depuis que je me suis enfui avec l’aide d’un Soldat, je regarde les premières étoiles dans le ciel, je sais que c’est stupide, mais ça fait partie de moi, on peut qualifier cette chose de TOC (Trouble obsessionnel compulsif).Alors que je commençais à m’apaiser, une faible lueur doré attira mon regard vers mon torse, puis une cuisante douleur fit son apparition, je me tenais là où j’avais mal, mais ça ne passais pas. Tout devenait flou autour de moi, j’avais du mal à reconnaître l’endroit, puis plus rien, le noir complet et la douleur se dissipa petit à petit.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté inconscient dans le sable, à la merci de tout le monde. Pourquoi je m’étais évanouit d’abord ? Je me souviens d’avoir eu mal à ma poitrine, puis plus rien.
Je sentais qu’on me secouer à l’épaule, ce geste me fit ouvrir lentement mes yeux bleus, tout était un peu flou autour de moi, mais malgré cela, je pus deviner qu’une personne était à côté de moi, sinon on ne m’aurait pas secoué pour me sortir de mon inconscience.
« hey…réveillez vous…ce n’est pas un endroit pour dormir… »

Je clignais plusieurs fois des yeux pour pouvoir retrouver la vue, puis je viens me redresser pour m’assoir sur le sable. J’enlevais le sable qui était dans mes cheveux avec ma main.
« Heu….merci…..de m’avoir réveillé »
Je regardais l’homme sui était à côté de moi, ça doit être celui qui ma secouer pour que je reprenne conscience, je le regardais quasiment en deux fois, enfin c’est surtout sa tenue vestimentaire que je regardais. Il portait un costar noir, peut de gens peuvent s’offrir se genre de costume et une chose me viens à l’esprit, je me souviens que les seuls à porter ce genre de vêtements c’était les TURKs membre de la Shinra. La Shinra ?! ….Je me suis redresser en vitesse, de peur que se soit pour moi qu’on l’avait envoyé. Mais je me sentais faible, comme si on avait aspiré mon énergie vital que je retombais lourdement contre le sable.

Je le regardais toujours, sans doute avec une lueur de haine. Mais je n’y pouvais rien, c’était comme ça, cette haine était profondément ancré en moi, surtout quand on connait mon histoire. Je le vis s’avancer vers moi, redoutant d’une attaque de la part du turk, je me mis à chercher mon arme dans le sable avec ma droite.

« tsss…vous êtes vraiment étrange dans le coin… »

Je le regardais toujours, est-ce qu’il me prend pour ces joueurs de volley à deux balle ou quoi ? Je ne suis pas étrange, je suis prudent, je me méfis des hommes de la Shinra et pour ça j’ai mes raisons. Et puis, je ne suis pas d’ici, je suis né à Midgar, qui d’après les journaux et les gens a été détruite par le météore…bon de toute façon, je n’ai plus de famille et donc ça ne ma rien fait de savoir cela. Insensible ? Non, je ne suis pas insensible, si vous avez vécus la même chose que moi, vous saurez ce que je ressens. Enfin bref, le jeune homme attrapa mon bras et me releva, je n’opposais aucune résistance, car je me sentais encore faible, nos regard se croisèrent. Je sentis quelque chose, je ne sais pas quoi, j’aurais voulut prendre mon arme face à cette petite tension qui s’était créer en quelques seconde. Je ne sais pas pourquoi, mais on aurait dit qu’il était prés à me sauter au cou, comme un prédateur face à sa proie. Je le vis fermer ces yeux et se reculer, j’étais un peu étonné de voir ça.

« …je ne vous est jamais vu a la shinra…pourtant vous avez ‘ces’ yeux…qui êtes vous? »

Je ne pus cacher mon dégout et ma colère a l’entende du mot « Shinra », le jeune homme me dis qu’il m’avait jamais vus dans l’enceinte de bâtiment, ce qui est un peu normal vu que je n’y travail pas. Je me mis à croiser les bras, pendant qu’il me questionna sur mon identité…Hum….mon identité, si je lui dit comment je m’appelle, je risque gros, si je lui dis mon surnom c’est pareil….Hum…..autant m’inventé dés maintenant un nouveau nom pour protéger ma véritable identité. C’est yeux ? Qu’est-ce qu’ils ont mes yeux ? Ah oui ! J’ai les yeux bleu semblable à ceux du Soldat. En moi-même je soupirais, j’en avais un peut marre que les gens confonde.

« J’ai les yeux bleu, mais ce n’est pas pour autant que je travail pour le Soldat et encore moins pour la Shinra. »

Oups, je crois que je vais m’attirer les foudres de ce jeune turk , mais qu’importe je dis la vérité. Cependant je ne la dit pas entièrement, car c’est maintenant que je vais cacher ma véritable identité, mais pas mon métier.
« Je m’appelle…. « Kaito » , je suis mercenaire. Et vous ? »

Dans le métier de mercenaire, il y à des dictons ou des règles appeler ça comme vous le voulez. Apprend plus sur ton ennemi en devenant son ami.

[Désoler, je ne savais pas si tu voulais continué ou non ce RP? je comprendrais si tu ne le veuille pas. ]


J’avais demandé l’identité de mon interlocuteur, ce qui me semblait normal, dans le sens où lorsqu’on demande le nom de quelqu’un, on donne également le siens. Mais est-ce que la « règle » se confirmait quand on donne une fausse identité ? Et puis comment pouvait-il connaître mon véritable nom s’il n’avait pas lu mon dossier dans les documents de ce scientifique timbré ? Je devrai peut-être me détendre un peux, après tout un turk pouvait être en mission qui n’avait rien avoir avec moi ou en vacances, ce qui est assez difficile à imaginer. Lorsque l’homme rangea ses armes, je me détendis, bon au moins il n’allait pas m’abattre, c’est déjà ça. Je rangeais également mon arme pour montrer que je ne représentais aucun danger, quoiqu’avec mon caractère je ne sais pas si je serais convainquant. Bref, j’attendais la réponse à ma question, et c’est un petit oiseau qui me l’a donna. Je regardais le petit volatile, il est mignon, mais moi je suis plus chocobo que je trouve fascinant de par leur gestuelle, leurs couleurs ou encore leurs caractères assez spéciale. Hibari, c’est ainsi que se nom l’individu qui se trouve devant moi. Hibari approuva les dires de son Hibird, tout en rajoutant qu’il se nommait Hibari Kyoya. Pourquoi me dire son nom complet, alors que moi, je me suis contenter…..heu….d’inventer un prénom ? Bah au moins, je pourrais faire des petites recherches sur lui.

Hibari Kyoya me fixa un long moment, je commençais à me dire qu’il est parano ou alors c’est un de ses truc débile de turk pour faire dire la vérité aux gens sans passer à la manière forte ?....Heu non, je ne pense pas qu’ils savent faire parler les gens en douceur. Je le vis soupirais puis s’approchais une nouvelle fois moi, je ne reculais pas car je n’avais rien à me reprocher à moins que d’être tombé inconscient sur une plage est un crime. Non, là la Shinra serait tombée bien plus bas que d’habitude. Quand il arriva devant moi, il me tendit la main pour m’aider à me relever. Je regardais cette main, le premier geste que j’aurais voulu faire c’était de la repousser. Je me suis mis à soupirer, non pas à cause d’Hibari, mais surtout de ma haine, je devais passer à autre chose. Laisser le passé derrière, pour aller de l’avant. Et puis ce type, n’était pas celui qui m’a fait souffrir, qui m’a transformé donc je n’ai aucune raison de me montrer hostile. Je lui pris sa main pour m’aider à me relever.
_ Merci.

Hibari me demanda alors ce que je faisais seul sur cette plage. Pourquoi faut-il qu’ils posent toujours des questions comme si on se trouvait dans un interrogatoire.
_ Est-ce mal ? Je sais que vous pensez que j’ai sans doute une santé fragile, vu ce qui s’est passé tout à l’heure. Mais je vais bien, inutile de vous inquiéter. Et puis, j’ai 19 ans et je n’ai plus d’attache familiale, mes parents sont mort, donc j’ai dut me débrouiller seul.
Je marchais un peu dans le sable totalement « guéris ».
_ Après… ce que je fais ici, ben j’aime bien cet endroit. L’ambiance de Costa del sol est si festive qu’on pourrait oublier tous les soucis que ce monde a endurés pendant ces dernières années.
Autrement dit, je n’avais aucune raison de me retrouver ici. Je me retourne vers Kyoya, puis je fis un petit sourire.
_ Et vous ? Que faites-vous seul sur cette plage ? Vous êtes en mission ou en vacance ?